Si Mahler était arrivé à une douzième symphonie, celle-ci aurait sans doute ressemblé à du Mozart, tant il a semblé retourner vers enfance avec sa 8ème et sa 9ème après les sommets d'expression personnelle de l'homme mûr des 5, 6 et 7. Ceci est une opinion délurée* personnelle bien sûr.
*il ne manque aucun "i"