Playlist ne vous étendez pas trop

Fabio Biondi et Europa Galante, 2007

Nocturnes pour piano de Fauré dans l'intégrale Crossley.

So french !!

Jamais inintéressant, comme du Tournemire quoi, parfois une certaine parenté d'écriture avec Lili Boulanger surtout pour le trvail sur les choeurs; heureusement qu'il y a cete série de gravures des symphonies par Bartholomée et le Philarmonique de Liège (que je sache, Tournemire n'était pas comme Hercule Poirot, il n'était pas belge).

Une galette immortelle :




Et hop, un peu de baroque français dans une excellente version bien vivante

Et c'est tout ce que vous arrivez à poster sur la Playlist ? Vous ne fréquentez pas plus de galettes plates voire creuses ce qui rimerait plus avec assiette c'est-à-dire gamelle ? Ou alors vous procédez par échantillonnage aléatoire bizarroïde ?

Je ferme ou je verrouille ou pas ?

Rèv' mon mange-disque radio-cassette avec les auto-collants de Snoopy est tombé en panne.
Si j'arrive à le faire réparer à l'atelier Vieilles charrues ensuite je le réglerai selon les préceptes du Dr shushu afin d'éviter le son trop décharné des membres. Il faudra donc que je l'aplatisse au bout et si je veux le faire de manière artistique cela peut prendre du temps.
https://crottdebik.forumactif.com/t6-mes-conseils-pour-eviter-un-son-decharne-et-desincarne

Mon radio-cassette marchouille
Seulement le premier acte pour le moment.

Wagner-Les Maîtres Chanteurs-Solti/Chicago (avec J van Dam et Heppner)

Méloniak a écrit:

Rév' mon mange-disque radio-cassette avec les auto-collants de Snoopy est tombé en panne.

Ah bah moi ce qui me sert de vecteur entre l' Univers de la Création_ Humaine_ Infinie_ des_ Chefs-d'Oeuvre_Ou_Pas et mon Monde_ Intérieur_ Indicible_ Qui_ A_ Soif_ de_ la_ Création_ Humaine_ Infinie_ des_ Chefs-d'Oeuvre_Ou_Pas c'est un vieil auto-radio recouvert de mousse que j'ai dégoté dans une vieille caisse à 4 roues trouvée au fond d'un trou dans un bois touffu. Cela fait 15 ans que ça marche bien, mais au début j'ai remplacé les auto-collants de Mickey par des auto-collants de Marilyn.

Dans notre série "les pianos de grande tenue générale et dans le temps", Liszt/ Années de Pélerinage /Aldo Ciccolini, piano (1961)

Un peu raide comme interprétation, non ? Donc ça finit que l'on entend trop le piano par rapport à l'âme et je dis ça parce que je sens mon coeur gonfler et taper fort dans ma poitrine aujourd'hui.
Il faut mettre ça en balance avec Jorge Bolet, et avec quelques autres versions.
Mais cette version Ciccolinia des vertus, c'est sûr, et en partie parce qu'elle refuse l'esbroufe et les faux-semblants.

Toujours dans les Années de Pèlerinage, je suis séduit par l'approche de Nicholas Angelich. Quelle variété de toucher ! Quelles bouffées nostalgiques !
A comparer d'urgence avec Bolet.
Lazar Berman : OK, pas mal.

J'ai passé ça tout à l'heure, c'est complètement "has-been", c'est beaucoup trop ancien, c'est des compositions du début des années 2000, ça fait plus d'un décade. Il va falloir que je dépoussière complètement ma discothèque.

Gyula Bánkövi (1966–) :
— Silver Winged Butterflies pour flute et violoncelle (1999)
István Matuz, Balázs Kántor
— Miserere pour voix et électronique (2001)
Voces Æquales
— Porte de l’enfer pour quatuor à cordes et électronique (2001)
Bence Gazda, Gergely Balázs, György Gulyás Nagy, Balázs Kántor
István Horváth
— Consciousness pour basse et ensemble (1997)
Ákos Ambrus
Componensemble (Zsolt Serei)
— Accord(ion) Concerto pour accordéon et orchestre (2002)
László Ernyei
Hungarian Radio Symphony Orchestra (Gergely Vajda)

Tout à l'heure je me suis gratté jusqu'à l'os à cause de ces cloportes et arachnoides divers !

Cette Playlist est inquiétante : pour le moment, pas de Bach ou si peu, pas de Mozart, peu de Beethoven, peu de baroque. Tout fout le camp. Je vous signale que le marché n'est pas prêt à absorber des revirements de goûts massifs au sein des masses, il risque au mieux l'effritement parallèle et concomitant et au pire l'explosion tarifée.

Bach c'est de la musique bourrative, Beethoven et surtout Mozart n'ont pas inventé l'eau tiède, donc j'approuve la programmation de nos membres actifs, tout en regrettant qu'il n'y ait pas plus de Szymanovski, de Scriabine, de Schulhoff, de Koechlin

Dis, Révérend-Le-Chimique (ce salaud a voulu me gazer), pour moucher ta morgue j'ai écouté ça :

Bach, Magnificat, Gardiner (2017)

Et ça va aller toute de suite dans le sujet des pochettes à tomber par terre.
Par ailleurs, j'aime pas beaucoup. Je ne suis ni fan de la musique ni surtout de l'enregistrement.

Ah bah un peu de Beethoven, 1er concerto pour piano; j'adore le premier mouvement du premier concerto.
Arrau a environ 84 ans quand il enregistre sa deuxième (?) intégrale des concertos sous la baguette de Colin Davis.

Je suis bien sûre que vous ne vous risquez jamais á esgourder cela, conventionnels que vous êtes.
De la musique de chambre de Louis Vierne et puis quoi encore ?
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Je vous le fais court et surtout en pensant que les statisticiens du futur n'auront pas beaucoup le temps de lire nos salades.

***Debussy/Jeux + Images/Martinon, orch. de l'ORTF pas mal
***Stravinsky/Pulcinella/Ansermet 1956 enr. de référence ?
***Bruckner/Te Deum/Karajan 1960 (avec Leontyne Price !)
***Bruckner/Symphonie 8/Furtwängler 1944 (génial)
***Brahms/concerto piano 2/Serkin +Szell 1967 un peu décevant.

Remarquable, et cette partita de Bach lumineuse ! Horszowski joue lá á plus de 90 ans avec un regard toujours aussi frais de jeune homme (1983)


Tout est bon lá-dedans, comme dans le cochon, mais surtout le Haydn (1961, Richter in Paris)

Récital Haydn beaucoup plus tardif de Richter (1986), une certaine classe, mais l'interprétation s'est comme asséchée:

Quel legato et quelles sonorités de Korobeinikov au piano ¡

Remarque que ce pianiste russe "disparu" (carrière longtemps interrompue par baisse de motivation) n'est pas mal dans un autre genre, c'est un peu le piano déferlant qaund il se met á Chopin ou Rachmaninov/Scriabine :

Andrei Gavrilov, piano : Bach/Suites francaises; Chopin/Ballades

(+ Premier trio avec piano de Beethoven par le trio Wanderer absolument sans Gavrilov).

Leon Fleischer : Schubert, Wanderer-Fantaisie, du temps où il avait encore ses deux mains.